Hommage à Yasuzo Masumura

Sensei Ciné Club / Soirée spéciale

Samedi 10 décembre

Sensei ciné-club / Ciné club Asiatique / Soirée spéciale films de répertoire

À l’occasion de la restauration de deux chefs-d’oeuvre du cinéaste japonais Yasuzō Masumura, Le Méliès vous propose de découvrir ces deux perles rares sur grand écran. Ce réalisateur très prolifique a marqué le cinéma japonais par sa radicalité et sa subversion. À travers TATOUAGE et L’ANGE ROUGE, c’est tout un pan de son cinéma qui s’illustre : celui construit autour d’un personnage féminin qui reprend sa dignité, celui qui compose chaque plan comme une estampe cruelle et magnifique.

Commandez par mail avant le 8 décembre à bar@lemelies.net
votre boîte de 12 makis (15€) préparés par Hiroko Handa (Hina Sushi)
à emporter ou à déguster de 19H à 21h le 10 décembre au Café Méliès

18h L’ange rouge

Akai tenshi – Japon – 1966 – 1h35 – vostf – Yûsuke Kawazu, Ayako Wakao, Shinsuke Ashida Akai tenshi – Interdit aux – de 12 ans

En 1939, pendant la guerre sino-japonaise, l’infirmière Sakura travaille dans un hôpital en soignant des soldats blessés. Un soir, elle se fait agresser par un groupe d’hommes repartant au front le lendemain. Quelque temps après elle retrouve l’un de ses agresseurs dans un hôpital de campagne. Elle convertira sa vengeance en pitié et cherchera à soulager les malades par tous les moyens…)

21h Tatouage

Irezumi – Japon – 1966 – 1h26 – vostf – avec Ayako Wakao, Akio Hasegawa, Gaku Yamamoto- Interdit aux – de 12 ans

La jeune Otsuya et son amant Shinsuke fuient la maison familiale pour vivre leur amour et trouvent refuge chez Gonji, un escroc qui se prétend être leur ami mais il les trahit. Il vend la jeune fille au tenancier d’une maison de geishas qui fait tatouer sur le dos d’Otsuya une araignée à tête humaine dans le but de briser sa volonté. Le contraire se produit et le tatouage métamorphose Otsuya. Elle devient une geisha sans scrupule et extermine les hommes qui ont fait son malheur. Manipulatrice et sanguinaire, elle semble possédée par l’araignée gravée sur sa peau…